Bibliothèque Électronique Lac Saint-Pierre

Prevalence of lip neoplasms of white sucker (Catostomus commersoni) in the St. Lawrence River basin

Mikaelian, I. et de Lafontaine, Y. et Gagnon, P. et Ménard, C. et Richard, Y. et Dumont, P. et Pelletier, L. et Mailhot, Y. et Martineau, D. (2000). Prevalence of lip neoplasms of white sucker (Catostomus commersoni) in the St. Lawrence River basin. Canadian Journal of Fisheries and Aquatic Sciences , 57 (Sup. 1). pp. 174-181.

Ce document n'est pas hébergé sur Bibliothèque Électronique Lac Saint-Pierre.

Résumé

The prevalence of lip neoplasms in populations of white sucker (Catostomus commersoni) was compared among five locations in the St. Lawrence River basin, Quebec, Canada. One site in the St. Lawrence River was monitored from May 15 to October 30 for two consecutive years (1994–1995) to study the seasonal variations in the prevalence of lip neoplasms. Other sites were sampled within a few days in October 1995 or May 1996. Lesions were found in fish from four of the five sites. The prevalence at each site varied from 0 to 41.6% and, as found in the Great Lakes, was highest in fish populations from urbanized/industrialized sites. Lip neoplams were detected almost only in fish >350 mm (total length). The prevalence was slightly higher in fish captured in the spring, but the low sample size did not permit statistical detection of this seasonal variation. There was a significant positive correlation (Spearman rs = 0.83) between fish length and the prevalence and size of lesions. The prevalence was similar between sexes, and the condition factor was significantly lower in fish with papillomas from one site only. In future studies, fish size and season of capture should be taken into account to compare the prevalence of lip neoplasms of white sucker from different sites.

La prévalence de tumeurs labiales chez le meunier noir (Catostomus commersoni) a été comparée dans cinq sites du bassin du fleuve Saint-Laurent, Québec, Canada. Un site a été suivi pendant deux années consécutives (1994-1995) du 15 mai au 30 octobre afin de mettre en évidence d'éventuelles variations saisonnières. Les autres sites ont été échantillonnés sur une période de quelques jours en octobre 1995 ou en mai 1996. Des tumeurs labiales ont été observées dans quatre des cinq sites. La prévalence des lésions variait de 0 à 41,6 % avec, tel que précédemment rapporté pour les Grands Lacs, une plus forte prévalence pour les sites les plus urbanisés et (ou) industrialisés. Les tumeurs labiales ne furent presqu'uniquement détectées chez les individus >350 mm (longueur totale). La prévalence des lésions était légèrement plus forte chez les poissons capturés au printemps, mais les trop faibles effectifs ne permettent pas de confirmer statistiquement cette tendance. La taille des lésions était positivement corrélée (Spearman rs = 0,83) avec la longueur des poissons. La prévalence de ces tumeurs était similaire chez les deux sexes et la présence de tumeur a une influence néfaste significative sur le facteur de condition du poisson à un des quatre sites. Il est recommandé que la longueur des poissons et la saison de capture soient prises en considération dans les études visant à comparer la prévalence des papillomes labiaux des meuniers noirs provenant de sites différents.

Type de document: Article scientifique
Statut du texte intégral: Autre
Mots-clés libres: White sucker (Catostomus commersoni), Lip neoplasms, St. Lawrence River, Lesions, Great Lakes, Papillomas // Meunier noir (Catostomus commersoni), Tumeurs labiales, Fleuve St-Laurent, Lésions, Grands Lacs, Papillomes labiaux
Sujets: 4. Faune > 4.2. Poisson
6. Milieu humain > 6.4. Industrialisation
6. Milieu humain > 6.5. Urbanisation
Date de dépôt: 16 août 2016 20:02
Dernière modification: 16 août 2016 20:02
URI: https://belsp.uqtr.ca/id/eprint/408

Gestion Actions (Identification requise)

Dernière vérification avant le dépôt Dernière vérification avant le dépôt
Coopérative de solidarité de la Réserve de la biosphère du Lac-Saint-Pierre
Concepteur de la BELSP : André Barabé, Ph. D.